
♥♥♥♥ Convoquer l’humour pour aborder sur scène la mémoire funeste de la Shoah, c’est ce qu’entreprend Éric Feldman. Mi-conférence, mi-confidence, cette autofiction jubilatoire nous entraîne dans une spirale de facéties, de pensées et d’émotions pures. Le comédien sait de quoi il parle quand il énonce les traumatismes de l’Holocauste : ses propres parents, oncles et tantes furent des enfants cachés, survivants de la tragédie. Dès lors, que transmettre à leur descendance… pour ceux qui en ont bien voulu en avoir une ?
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